BIOGRAPHIE ALBINA ARBOUR (1922-1991)
Albina Arbour est née le mardi 25 juillet 1922 à Sainte-Béatrix.
Elle est la fille légitime de Avila Arbour, âgé de 28 ans et de Pomela Demers,
âgée de 24 ans. A sa naissance, elle a pour frères et soeurs : Jeanne (née en 1917), Irène (née en 1918), Paul (né en 1920).
Elle est baptisée à Sainte-Béatrix – Église de Sainte-Béatrix, le 25 juillet 1922.
Sont présents :Joseph Loyer (Parrain), Albina Arbour (Parrain).
Elle s’unit avec Maurice Cloutier (1912-1967), le fils légitime de Paul Cloutier et de Caroline Loyer. Ce couple aura un enfant : -Roger né en 1943.
Ils se marient le mercredi 5 juin 1940 à Sainte-Béatrix – Église de Sainte-Béatrix.
En 1943 naît son fils Roger. Albina est âgée de 20 ans.
Sa mère Pomela meurt le 28 décembre 1945, Albina est âgée de 23 ans.
Le 18 juin 1967 son époux Maurice meurt, Albina est âgée de 44 ans.
Son père Avila meurt le 24 avril 1981, Albina est âgée de 58 ans.
Albina Arbour est décédée le samedi 13 avril 1991 (Victime d’un meurte), à l’âge de 68 ans, à Sainte-Mélanie.
Le 13 avril 1991 son fils Roger meurt, Albina est âgée de 68 ans.
Elle est inhumée le 25 avril 1991 à Sainte-Béatrix – Cimetière de Sainte-Béatrix.
Rapport Policier déposé au Coroner suite aux meurtres de Sainte-Mélanie
Rene Arbour
Triste POUR UNE COUSINE ARBOUR …. ALBINA ARBOUR-CLOUTIER-elle était la fille d’Avila ARBOUR ET Poméla DEMERS DE STE BEATRIX QUEBEC CANADA. Simcoe (ON) Reformer – 17 avril 1991
Le Tireur avait une liste pour faire plus de meurtre à Montréal –
Jean-Pierre Rivest, qui a tué quatre personnes et blessé gravement une autre, aurait pu causer encore plus de sang si l’une de ses victimes n’avaient pas survécu à avertit la police, un enquêteur de l’homicide, a déclaré mardi, que Rivest se dirigeait vers Montréal avec trois fusils et 500 cartouches de munitions quand il a été intercepté par deux voitures de police à Rawdon, à environ 45 kilomètres au nord de Montréal, samedi soir.
Une description de la voiture a été donnée à la police par Robert Bougie, 41 ans, qui leur a dit que Rivest, 47 ans, avaient tiré sur lui et trois (3) autres personnes dans une maison à Sainte-Melanie, près de Rawdon.
«S’il (Bougie) n’avait pas survécu, ce qui aurait pu arriver, Rivest voulait répéter le geste qui avait eu lieu en 1989 à Université de Montréal au niveau de la Classe de maternelle a dit le,» Sgt. John Galianos
Il a dit à nos hommes que c’était une bonne chose qu’ils l’ont arrêté parce qu’il se dirigeait vers le village gai de Montréal, où il a prévu de tuer 40 personnes.» La police a un journal et une cassette dans laquelle Rivest a présenté ses plans.
Bougie a été tiré dans l’abdomen, mais sa vie a été sauvée par un corset qu’il portait après une opération. Il fait le mort et a appelé la police après Rivest avait quitté la maison. Lorsque la police est arrivée à la maison, ils ont trouvé Roger Cloutier, 48 ans, et sa mère Albina Arbour-Cloutier, 68 ans, chaque tir une fois dans la tête, derrière l’oreille. Ils ont également trouvé Stephanie Arcand, 23 ans, ont tiré cinq ou six fois dans la poitrine, et Bougie saignement d’une blessure par balle à l’abdomen.
La police a découvert plus tard, le corps de Tommy Simoneau, 20 ans, une balle dans la tête à la maison de Rivest à Joliette, à environ 60 kilomètres au nord-est de Montréal. Lorsque la police a rattrapé Rivest, sur le chemin de Rawdon, ils l’ont convaincu de les suivre dans le stationnement du détachement de la police provinciale de Rawdon. Ils ont encerclé sa voiture avec les agents de l’escouade tactique et ont essayé de le persuader de se rendre. Jean-Pierre Rivest a préféré se suicider.
Selon la police, les victimes, à l’exception de Albina Arbour-Cloutier, étaient sur la liste. Tout le monde sur la liste ‘’devaient’’ de l’argent à Rivest.
Certains des dettes étaient des prêts tandis que d’autres étaient pour des frais de chambre et pension et les repas. «Parfois, il invitait quelqu’un à rester chez lui pendant quatre ou cinq jours, puis il leur disait combien il devait», a déclaré Galianos.
Rivest a été membre d’un Club de tir à Joliette et avait un permis pour transporter des armes entre le Club et son domicile. Il avait reçu un traitement psychiatrique depuis 1985. Galianos a déclaré un aspect de l’affaire instruite par ses hommes est de savoir si une personne en soins psychiatriques avait le droit de détenir un permis d’armes à feu.
Rapport Judiciaire :13 avril 1991
